Le Seto prône une confédération des institutions du tourisme
A l’occasion de sa dernière réunion mensuelle, le Comité Exécutif du Seto (le Syndicat des Tour opérateurs) a confirmé ses travaux d’analyses sur l’avenir de la profession du tourisme qui avaient été faits lors de son séminaire annuel le 11 juin 2015 à Deauville.
Lors de ce séminaire, le Comité exécutif avait à l’époque fait le bilan d’une année de coopération institutionnelle avec les acteurs majeurs de la profession, notamment le Snav.
Il en était ressorti un schéma informel d’actions, de réflexions et de communications communes sur plusieurs sujets (Directive européenne, Garantie financière, Destinations, Relations institutionnelles, Vacances scolaires…).
Les conclusions du Comité exécutif du Seto, fidèles à la culture intrinsèque du syndicat, sont que la profession doit se doter d’instances unies pour faire face à tous ces défis, tout en respectant l’autonomie de chacune d’entre elles.
Dès lors, le Seto réfléchit à un projet de Confédération des institutions comme modèle privilégié pour répondre à ce besoin d’unité de la profession.
« Ce modèle de Confédération présenterait l’avantage de développer des actions collectives tout en permettant à chaque institution de conserver son indépendance et sa spécificité, meilleurs gages de pertinence et d’expertise » indique René-Marc Chikli (à gauche sur la photo au côté de Raoul Nabet, président de l’APST), le président du syndicat.
Sur le même sujet
Comment Flexible Autos veut accentuer sa différence
Flexible Autos, société de courtage dans le secteur de la location de voitures, a...
Alicante à la rencontre des agents de voyages à Nice
Dans le cadre de l’ouverture de la ligne Easyjet entre Nice et Alicante, l’Office...
Grande rencontre régionale des EDV Hauts de France Normandie
Dans le cadre des Rencontres en région proposées par les Entreprises du Voyage, les...
1 commentaire pour “Le Seto prône une confédération des institutions du tourisme”
Excellente analyse et suggestion.
quand les individualismes et/ou corporatismes comprendront ils que ce n’est qu’en ramant tous ensemble et dans la même direction que nous pourrons défendre nos métiers respectifs. Le web nous montre que l’économie de partage séduit le plus grand nombre, qu’ensemble on est plus fort et mieux entendu partout sur la planète et que c’est celui qui fait le plus de barouf qui attire le plus grand nombre.
l’objectif de 100 millions de touristes en 2020 permet de penser qu’il y en aura pour tout le monde… En ordre dispersé, nous laisserons le champs libre aux gros TO mondiaux qui s’organisent sans nous et créent leurs propres réceptifs qui engrangent de la marge pour eux.
Je propose depuis plusieurs semaines la création d’une association des réceptifs de France dont le métier est différent de celui d’un agent de voyages outbound avec des spécificités propres et une activité essentiellement B2B pour que notre production soit la plus large, riche et variée possible, de Brest à Menton et de Dunkerque à Biarritz…
https://www.facebook.com/FrenchDMCAssociation