Comment je pense parfois à sérieusement changer de métier !


julieChroniqueuse tiens, voilà, je vais devenir chroniqueuse !

Devenir ? Je le suis un peu déjà, non ?

C’est sûr que mes « collègues » de Elle ou Paris Match doivent bien rire de mes talents de pseudo-journaliste que je m’efforce de développer, d’améliorer, d’étayer chaque jour un peu plus.

En même temps, elles reçoivent des tonnes de communiqués de presse chaque jour leur indiquant les tendances à suivre, les angles à aborder… Bref, leur facilitant leur travail. Rien de tout ça en ce qui me concerne, malheureusement.

Bien sûr, je suis en relation permanente avec la magie du web qui m’aide beaucoup dans mes recherches et perfectionnement mais bon…

Parce que si je parle de devenir chroniqueuse alors que j’ai déjà un métier, c’est que parfois, ce métier me sort par les yeux !

Ggrr ! Bien sûr que c’est sexy de vendre du rêve. Bien sûr que c’est sexy d’être sensée connaître tous les pays du monde… Mais ça c’est seulement la partie visible de l’iceberg.

Pour une session tripante de conseils à un couple de jeunes mariés dont les étincelles brillent dans les yeux au moindre de vos mots, combien de vieux grincheux (c’est une expression, parce que ce n’est pas une question d’âge !) qui vous cassent les pieds parce que ceci, parce que cela.

Et qui, quand vous arrivez quand même à les convaincre de partir, reviennent insidieusement vous coller un SAV à peine poser les pieds sur le tarmac de CDG parce que vous ne leur aviez pas dit qu’il pouvait faire frais à Marrakech au mois de novembre !

Ggrr ! Vous voulez connaître la dernière en date qui est en train de me mettre dans un état de rage folle à prendre mon clavier pour déverser ma bille sur ma page de La Quotidienne, en espérant que cela va me soulager quelques minutes ?!

Et bien, je viens de recevoir une lettre d’avertissement en recommandé avec accusé de réception comme quoi mon client va nous mettre en procès pour manque d’information sur les recours possibles en cas de défaillance envers la compagnie aérienne empruntée lors de son dernier séjour.

A la première lecture, évidemment, j’ai flippé.

Je n’ai pas en mémoire un problème sur ce dossier nécessitant une intervention vis-à-vis de la compagnie en direct ou via notre intermédiaire. Pour moi, le dossier était clos. Tout s’était bien passé.

Et bien, sachez que pour lui aussi tout s’est bien passé. Mais quand dans l’éventualité où il y aurait eu un retard ou autre problème, ce monsieur s’estimait pas assez informé des actions à, mener pour obtenir dédommagement.

Je vous la traduis en clair : il met en cause notre défaut d’information concernant un problème qu’il n’a pas eu !

Oui, oui, juste pour m’emm… non ! Je ne vois que ça ! Vous en conviendrez non, y’a de quoi se mettre en colère !

Allez, j’embrasse bien fort les étudiants en droit de France et de Navarre. Faites-moi plaisir, prenez pas option « tourisme ». Y’a bien d’autres secteurs plus utiles à surveiller : la santé, la sécurité, les ONG… et je peux vous aider à réfléchir sur plein d’autres si besoin…





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