Vinci Autoroutes soutient les start-up liées au tourisme
20 octobre 2015 Michel Bovas 1 commentaire Techno Babblecar, The little Extra, Vinci Autoroutes, Wever
Voilà une initiative propre à séduire les entrepreneurs qui lancent des produits innovants dans le secteur du tourisme ou des déplacements. VINCI Autoroutes lance un accélérateur de start-up sur la Côte d’Azur et à Paris pour créateurs dans les domaines du voyage, des mobilités du quotidien.
En avril dernier, trois start-up (Wever, The Little Extra et BabbleCar) ont été sélectionnées à Nice pour bénéficier de l’aide de Vinci Autoroutes.
Première de ces starts-ups, Wever a monté un réseau social de covoiturage de proximité en reprenant le concept des lignes et des arrêts de transports en commun.  La société a ainsi annoncé une première expérimentation de covoiturage urbain dans les Alpes Maritimes auprès d’une cible étudiante.
The Little Extra met en place un service proposant de monétiser les temps perdus dans les transports en répondant à des enquêtes produits de manière ludique.
Enfin BabbleCar, c’est un réseau social de l’automobile connectée proposant aux occupants des véhicules de communiquer entre eux sans se  connaître via les plaques d’immatriculation.
MB
Sur le même sujet
L’Intelligence Artificielle au service des hôtels IHG
IHG Hotels & Resorts a créé un planificateur de voyage alimenté par Google Cloud...
Sabre signe avec Karavel-Fram
Karavel-Promovacances et FRAM, qui forment ensemble le deuxième acteur du marché français du voyage,...
NG Travel nomme François Vivarelli au poste de Directeur de l’Innovation
Dans une démarche affirmée vers l’avant-garde technologique, NG Travel vient d’annoncer l’arrivée de François...
1 commentaire pour “Vinci Autoroutes soutient les start-up liées au tourisme”
imaginez vous un projet de tourisme réceptif global regroupant accueil, transport, guidage, hotellerie, restauration, conciergerie … performant dans chacune des 13 régions et qui proposerait un service + inter-région aux agences émettrices à l’international ?
cela nécessiterait un business plan régional, des investissements locaux, des emplois non délocalisables, une dynamique touristique des réceptifs pour aller chercher les prescripteurs plutot que d’attendre que les TO nous les adressent en tirant nos marges vers le bas !!
Hervé French DMC Association