Comment j’ai eu une chance folle


juliePendant ces vacances, j’ai eu une chance folle.

Je vous en reparlerai vite, promis, car j’ai découvert une île belle sous toutes les coutures, une eau cristalline comme dans les rêves, des moments cartes postales les uns à la suite des autres, sans que rien ne fasse faux ou irréel pour autant.

Côté bouffe (au fait vous avez lu ce scandale à Rhodes, j’aimerai bien connaitre le montant de l’addition, moi ?), rien à dire.

Le seul truc qui m’a un tantinet énervé, en fait pendant ces vacances, c’est tous ces gosses qui n’arretaient pas de piailler du matin au soir…

C’est dingue, quand les parents décident de s’autoriser des moments à deux, sans enfants, les enfants eux décident de pourrir les grasses matinées à base de « chui debout, chui debout, chui debout  » dès 6h30 du mat.

Ces petits diables passaient leurs journées à sauter dans la piscine sans jamais trouver ça lassant et n’étaient JAMAIS fatigués (même après une randonnée, quatre heures de plage à courir partout et seulement cinq heures de sommeil !).

Fallait les voir (et les entendre), dans l’hôtel, ces gosses chantant à tue-tête Gangnam Style (entendu la veille en boite) en faisant la choré de la Macarena (ce qui est un challenge presque aussi difficile que de se taper sur la tête avec une main tout en dessinant des ronds sur son ventre avec l’autre), mais les enfants aiment les défis, n’est ce pas ? …

En tout cas, ça m’a confirmé que l’on vivait vraiment dans deux mondes parralèles, deux planêtes séparées : je n’aspirai qu’à un calme réparateur et régenerateur quand, pour eux, plus il y avait de bruit mieux ça allait.

Entre deux reflexions sur ces turbulantes générations futures, j’ai quand même suivi l’actualité touristique, d’assez loin je l’avoue, avec la menace d’un nouveau nuage islandais (potentiellement encore plus dangereux que le premier), une météo pourrie à venir, un virus africain inquiétant au niveau mondial et une situation géopolititique encore montée d’un cran, je crois qu’on va vivre, une fois n’est pas coutume, des mois assez rock’n’roll …

Allez, je vous laisse à votre rentrée et vous envoie mille gros bisous. Au fait, c’est bon de vous revoir !

Julie Labrune. 28 ans
Conseiller en Voyages





    2 commentaires pour “Comment j’ai eu une chance folle

    1. Ce n’est pas en juillet/août qu’il faut envisager de passer des vacances tranquilles… Dans un club ! un peu de bon sens…
      Et dire qu’on va encore avoir droit à ces billets d’humeur pendant 1 an…

    Laisser un commentaire

    Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Sur le même sujet

Comment j’échangerai quand même pas mon Throne …

Comment j’échangerai quand même pas mon Throne …

51445 vues
17 mai 2018 0

Bonjour à tous ! La rédaction de Laquotidienne.fr m’a fait parvenir tous vos petits...

Comment à l’ IFTM j’ai pas fait tapisserie !

Comment à l’ IFTM j’ai pas fait tapisserie !

55279 vues
2 octobre 2017 3

Grand bonjour à tous ! Oui je sais, ça faisait un bout de temps que...

Comment la charentaise, ben c’est pas forcement ringard !

Comment la charentaise, ben c’est pas forcement ringard !

33063 vues
12 juillet 2017 1

Coucou les p’tits loups, je rentre de quelques jours à la plage et cela...