Comment l’abstinence, parfois, a du bon !


julieLe temps file à une vitesse, c’est une catastrophe !

Est-ce que quelqu’un sait faire dans l’extension de journée ? Du genre, transformer 24 heures en 40, par exemple ? Si oui, je suis preneuse !

Sinon, vous avez lu l’actualité ces derniers jours ? Entre l’affaire Cahuzac, la reprise d’Austral Lagons par ses dirigeants (une excellente chose selon moi), le bras de fer entre les hôteliers et les agences en lignes ou la vente des actifs de Fram, que de sujets à aborder !

Mais, parmi tout cela, il y en a un qui m’a particulièrement marqué la semaine dernière.

Un député écologiste, dans les débats à l’assemblée, a proposé de diminuer les allocations versées aux familles à partir de leur troisième enfant parce que voyez-vous (là c’est moi qui interprète), un enfant, ça pollue…

Selon les calculs réalisés par notre alter-représentant un soir d’overdose de graines germées de pavot, un mouflet occasionne un « coût écologique comparable à 620 trajets Paris-New York ».
Quand je vous disais que l’avenir de la planète, c’était l’abstinence sexuelle écolo-papale, je ne savais pas encore que j’avais les compétences requises pour me présenter au parlement.

Reste bien sûr le problème de ceux qui auraient déjà un troisième enfant, un « tchernokid« , en somme.
Je leur suggère généreusement d’opérer à un tri sélectif, comme en Chine, mais avec une green touch supplémentaire pour rester dans l’air du temps (voir ma chronique sur Samoa) : qu’ils jettent le plus gros.

En effet, selon des chercheurs anglais, les personnes en surpoids seraient responsables de l’émission d’une tonne de CO2 par an de plus que les minces (coût supplémentaire côté transports, production et acheminement de la nourriture).
Évidemment, il reste à définir à partir de quel poids on est considéré comme gros (espérons que la limite sera fixée par l’Association Amicale des Amateurs d’Andouillette Authentique et non pas par le collectif des journalistes féminines de la presse professionnelle touristique française.

Par contre, j’avoue que je ne sais pas quelle couleur de poubelle correspond aux corps humains, je suis nulle en tri sélectif.

Allez, j’embrasse toutes mes consœurs de la presse pro (même si je ne suis pas journaliste mais agent de voyage chroniqueuse pas sérieuse !)

Julie Labrune, 28 ans
Conseiller en Voyages





    1 commentaire pour “Comment l’abstinence, parfois, a du bon !

    1. coucou, julie !
      Qu’est-ce que j’aime vos chroniques !!! C frais, ca nous change des commentaires aigris de vos confrères !!!
      Le matin, ça me fait beaucoup de bien, je deviens accro !
      Continuez ! je vous embrasse.
      Paul Fèvre

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