Comment élire notre Pape à Nous ?

19 mars 2013   Julie   1 commentaire   La vie de Julie       2507 vues

Fumée blanche ou fumée noire ? Au Vatican, ils se sont rapidement décidés. Ce sera un homme (quelle surprise !), de 76 ans (ça nous rajeunit !), argentin d’origine piémontaise (ça change !), jésuite et déjà controversé.

Il se dit que François 1er, Roi de l’église catholique (à ne pas confondre avec celui de la bataille de Marignan en 1515) trimballerait quelques casseroles datant de la période du Général Videla en Argentine. Rien d’extraordinaire à ça.
Les papes sont comme les voitures des jeunes mariés, ils ont toujours deux ou trois casseroles accrochées au…cu… au pare-choc !

Mais je ne suis pas là pour aborder cet aspect. Je me disais que nous autres, professionnelles et professionnels du tourisme, on devrait aussi élire notre Pape à nous, celui qui, par sa bonne parole, nous guiderait vers des pâturages plus verts, des cieux plus bleus, des horizons plus dégagés. En six mots : le paradis des agents de voyages.

Et qui pourrait endosser le costume ? Un homme évidemment. Ce ne sont pas les candidats qui manquent à la tête de nos métiers. De 60 ballets ou plus ? Le choix est large donc difficile. Controversé ? Il n’y a pas besoin de chercher bien loin.
Avec quelques casseroles aux fesses ? Certains sont équipés de toute une batterie de cuisine. Petites, moyennes, grandes, tous les modèles sont disponibles.

Pour trouver le candidat idéal, je n’ai qu’à demander conseil à Tonton Dom’ qui œuvre maintenant dans la case d’en face. Il adore faire sa cuisine avec les casseroles des autres.
Qui me conseillerait-il ?

Ah, j’entrevois un carré de prétendants : L’ancien DG de la filiale française d’un TO espagnol qui commence par un M. Deux ex-patrons de grands réseaux britannique et allemand implantés en France. Et pour finir, l’oncle Dom’ hésiterait certainement entre plusieurs big boss de réseaux d’agences qu’il a dans le collimateur en ce moment.

Mais notre futur Pape se trouve peut-être ailleurs, dans les instances qui encadrent la profession. Des hommes d’âge mûr, des vieux sages sous leur branche (je n’ai pas écrit : « vieux singes sur leur branche »), il y en a un paquet.

Bon, pour les casseroles, je ne sais pas qui en a et qui n’en a pas. Je ne suis pas une grande journaliste d’investigation, moi !
J’attendrai le prochain édito de mon Tonton préféré.

Allez. J’embrasse les poêles à frire et les poils tout courts !

Julie Labrune, 28 ans.
Conseiller en Voyages