Comment j’ai définitivement un problème avec la technologie !

7 mars 2013   Julie   Aucun commentaire   La vie de Julie       2701 vues

Ma to do list sous les yeux, mon gros feutre noir dans la main, je rature. Cool, j’élimine rapidement quelques lignes.

Dernière de sa catégorie pour la journée : le carnet de voyage de mon dossier Turquie. Vu l’heure, ça va le faire. Je caresse même l’espoir d’entamer celle de demain ! Ah ! A moi aussi l’afterwork avec ma cops. Ne perdons pas davantage de temps. Ouverture du dossier, vérification des noms, tout va bien.

Emission des factures, RAS, les clients ont bien soldés en temps et en heure. Impression des billets électroniques, toujours aucun problème.
Print également des fiches techniques, l’écran signale toujours que tout est OK. Reste les sacs, étiquettes bagages, guides et autres accessoires à assembler et hop, en un coup de cuillère à pot, le tour est joué.

Légère, je cours à la photocopieuse-imprimante-fax et je ne sais quoi encore. Bref, l’énorme terminal gris avec des bacs partout et des boutons à faire palir le tableau de bord d’un 747 !
Et là, c’est le drame.
Rien, nada, woualou, que tchi (écrivez ça comme vous voulez, moi, comme je peux) !
Aucun document en attente. Pas de bourrage papier. Bacs pleins de mes précieux A4.
Qu’est- ce que c’est encore que ce bins ?!

Allez, Julie, reste calme et recommence, peut-être que t’as pas bien lancé les impressions. Vérification de l’imprimante par défaut, aucun problème.
Second lancement. Et hop, on y retourne.
Toujours rien.
Bon, décidément, la technologie et moi, ça fait pas deux mais quinze.
Peu importe le nombre, faut bien trouver une solution parce que la ma to do list, elle va grave tirer la tronche.
Enfin, surtout mes clients s’ils recoivent pas leur colis dans les temps.
Réfléchis Julie, réfléchis.

A défaut de trouver le problème (j’y tiens à mon afterwork), j’enfourne ma clé USB, je copie, je transfère tout sur l’ordi de ma collègue que j’amadoue gentiment et hop le tour est joué. Juste à temps !
Allez, Julie, ça aurait pu être pire !
J’embrasse toutes les têtes d’ampoules …

Julie Labrune, 28 ans
Conseiller en voyages