[1]Ça ne vous a pas échappé ! On ne parle que de nous en ce moment. Nous les Julie !
Nous monopolisons l’actualité par cette aura et ce magnétisme qui nous caractérisent. Ma collègue Julie fait la Une de Closer, de TF1 et de Paris-Match. Pour ma part, je truste celle de LaQuotidienne. À chacune son standing !
La première croque un Président normal. Moi, j’ai cherché le mien parmi les huiles de la profession, à la tête d’un réseau d’agences, d’un TO, d’une instance représentative… Mais je n’ai trouvé que des vieux croûtons tout rabougris qui ne font pas l’affaire. Je me contente donc du seul Président que je peux croquer… le camembert du même nom.
C’est vaseux et pas drôle du tout, je reconnais. Mais n’est pas Dieudonné M’Bala M’Bala qui veut.
En revanche, dans mes recherches, je suis tombée sur un truc sympa sur le site du magazine Elle : Mon profil psychologique (donc celui de Julie Gayet) vu au travers notre prénom. Je vous en livre les grandes lignes :
« Julie est éblouissante et a un petit côté star. Elle aurait pu être actrice, chanteuse ou cantatrice, exercer un métier de scène sous les projecteurs. Elle n’a pas peur de se singulariser. Ses extravagances charment même si son attitude, parfois théâtrale, peut finir par fatiguer son entourage ».
Celles et ceux qui me suivent depuis un an sur LaQuotidienne me retrouveront mot pour mot, n’est-ce pas ? Surtout le côté théâtral qui fatigue…
Je poursuis : « Contrairement à ce que l’on peut penser de prime abord, elle a un grand sens moral et sait ce qui est juste et bon. Elle aime construire ses propres lois, sa propre logique, au-delà des préjugés ou des valeurs préétablies par la société. L’esprit d’indépendance de Julie est très développé ».
Vous êtes bluffés non ? Ça me correspond pile-poil ! Passons au paragraphe Julie et les hommes.
« Julie a sans doute beaucoup de soupirants, mais n’est intéressée que par ceux qui ne lui tournent pas autour. Elle se sentirait sans doute étouffée par un amoureux trop démonstratif. L’amoureux de Julie ne devra pas être trop jaloux ni possessif sinon il risque d’être malheureux, car elle n’est pas du genre à se laisser enfermer. Julie a une vision plutôt moderne du couple, elle crée ses propres règles et recherche un homme indulgent, capable de les comprendre ».
Voilà, je suis mise à nu ! Dans une précédente chronique, je m’étais engagée à vous dévoiler mes dessous en 2014. Ceci en est la première étape, d’autres suivront.
Maintenant que vous en savez plus, si jamais vous êtes président d’un machin bidule quelque chose, je suis toujours intéressée. Vous savez où me trouver.
Allez, j’embrasse fraternellement Julie Gayet qui m’a montré la voie…
Julie Labrune, 28 ans
Conseiller en Voyages