[1]Oui vous ne rêvez pas. On vit à nouveau dans un monde merveilleux.
Pour plein d’économistes super sérieux, la situation s’est soit améliorée, soit stabilisée.
La preuve ? Autour de nous, les taux de financement de l’Espagne et de l’Italie sur leur dette publique (j’ai lu ça dans le Monde) sont de retour aux niveaux de 2006… whaouh !!!
Nous étions effrayés, fin 2012 et début 2013, de voir qu’un certain nombre d’acteurs du tourisme (et d’ailleurs) faisaient faillite, ce qui a eu des conséquences pour les fournisseurs et pour l’emploi.
Et bien chers lecteurs, cette période est terminée.
On ne voit pas les défaillances baisser (c’est le discours officiel, j’aimerais bien avoir l’avis de l’Apst), mais la taille des entreprises concernées est plus petite.
Ce sont désormais les TPE qui morflent. Pour eux, » c’est moins inquiétant qu’auparavant« . Sic !
Pour moi (et pour Papy René) on est dans une vraie situation schizophrène, avec un gouvernement qui donne d’une main ce qu’il reprend de l’autre…
Et tout ça marque, sinon un tournant, du moins une étape dans ce quinquennat qui a d’ores et déjà remporté (je ne fais pas de politique, de toute façon j’y comprends rien !) un record en matière de désillusion !
Et que l’on n’aille surtout pas me parler des 25 % de chômeurs en plus qui ne sont qu’un vulgaire caillou dans cette mécanique du marché des capitaux dont on voit bien qu’elle fonctionne admirablement bien ! (il semble d’ailleurs que la bourse de Paris ai retrouvé ses niveaux d’avant la chute de Lehman Brothers, c’est dire !).
Alors chantons gaiement; les beaux jours sont revenus, youpi !
La crise est finie, la preuve elle continue…
Allez, plein de poutous à tous les optimistes. Quand aux autres, ils n’ont qu’à prendre sur eux, na !
Julie Labrune. 28 ans
Conseiller en Voyages