Pour la première fois depuis longtemps, en ces temps de crise sanitaire, un cinéma faisait salle comble. C’était samedi dernier à Paris sur les Champs Elysées au cinéma le Balzac. La raison d’une telle affluence ? La projection en avant-première d’un chouette film sur l’amour et la musique, avec en toile de fond les sublimes paysage de Bali cette merveilleuse île d’Indonésie.
Réalisé par le talentueux Arnold de Parscau, « Une barque sur l’océan » (clin d’œil à l’oeuvre de Maurice Ravel) raconte la rencontre improbable entre une pianiste française, remarquablement interprétée par Dorcas Coppin) et un jeune pécheur balinais (Hari Santika) rêveur et obstiné.
Au delà d’une intrigue très bien ficelée et du jeu naturel et plaisant des acteurs, c’est le décor naturel de Bali qui donnent du relief au film avec, tourné du nord au sud, les montagnes volcaniques boisées, les rizières, les sublimes plages et les récifs coralliens.
On appréciera également la plongée dans l’atmosphère particulière balinaise : la vie nocturne, les cultures ancestrales (combats de coqs, danses, artisanat, etc.) ainsi que la langue chantante et envoûtante des indonésiens.
« Bali devrait normalement rouvrir dès le mois de septembre prochain pour accueillir les touristes français » indique Eka Moncarre, la Directrice de l’office de tourisme d’Indonésie en France, présente évidemment à la projection et soutien solide du réalisateur Arnold de Parscau pour ce film.
PR